Personnes interrogées

Personnes interrogées


L’objectif de l’étude est d’interroger 1 600 Sénégalais au Sénégal, 200 en France, 200 en Espagne et 200 en Italie. Chacun d’entre eux est invité à répondre au même questionnaire.

Comment ça se passe ?

Un membre de l’équipe prend contact avec vous pour vous présenter l’étude. Si vous acceptez une entrevue, vous convenez ensemble d’un rendez-vous. L’entretien se déroule en face à face dans le lieu de votre choix. L’enquêteur vous présente un questionnaire (en savoir plus sur les questionnaires) que vous remplissez ensemble. Si certaines questions vous gênent, vous n’êtes pas obligé de répondre.

Comment seront utilisées les réponses ?

On interroge dans les enquêtes un nombre important de personnes afin de pouvoir établir des statistiques d’ensemble. Après l’interview, les questionnaires sont saisis dans un fichier informatique anonyme. Le traitement des données exclusivement réservé à l’équipe de recherche porte donc sur des numéros d’individus et non des personnes identifiables.

Comment est-on choisi pour répondre à l’étude?

Lorsqu’une enquête est mise en place sur un thème particulier, on ne peut interroger toute la population. On tire alors un échantillon de quelques milliers d’individus représentatifs de l’ensemble de la population, selon certains critères (âge, sexe, type de logement, taille de l’agglomération, région, etc.).

Au Sénégal, les ménages et les individus à interroger sont tirés au sort, au hasard, dans la base de données du dernier recensement de la population du Sénégal (2002) transmise par l’ANSD.

En Europe, les modes de sélection diffèrent selon les pays car il n’existe pas une base de sondage unique qui permet de tirer au sort des migrants sénégalais. Dans les trois pays, l’échantillon est constituée à partir de plusieurs sources (contacts donnés par les ménages de Dakar, contacts fournis par les associations etc.). En savoir plus sur la méthode d’échantillonnage.

Respect de l’anonymat et de la confidentialité

Les questionnaires utilisés dans le cadre de cette étude sont totalement anonymes et confidentiels. Une fois la personne contactée, nous détruisons ses coordonnées.

La législation en vigueur est à ce niveau très strcite. En France, conformément à la loi du 7 juin 1951 sur l’obligation, la coordination et le scret en matière statistique, l’INED ne peut communiquer à quiconque les renseignements individuels obtenus lors d’une enquête statistique. Dans les quatre pays d’enquête, les réponses à ce questionnaire sont protégées par le secret statistique. Les instances qui contrôlent et garantissent le respect de la confidentialité et de l’anonymat sont consultées avant le lancement de la collecte.